samedi 28 septembre 2013

Archétype ou Préjugé

Pour changer revenons à la philosophie et au débat. (intérieur le débat c'est plus rigolo).
J'ai découvert aujourd'hui un post au sujet des préjugés que chacun PEUVENT avoir sur les instits.
et effectivement bien souvent ceux-ci se retrouvent au centre du débat public. 
Certains parlent de sport national, d'autres d'ignorances, mais au final les préjugés sont toujours là.
Bien sur, et je pense cela humainement normal, lorsque une personne ce sent jugée elle éprouve sinon le besoins de se justifier, celui de se défendre (preuve à la clé). Je n'omettrais pas d'opinion sur le travail des instit en particulier, bien que s'il sont au centre du débat et que leur travail nous préoccupe temps, je pense que c'est d'avantage à cause des responsabilités qu'ils portent que de leur travail effectif. En effet, nos instits bien plus que le prof ou les maîtres de conférence (prof de fac) portent la responsabilité de l'avenir de ce qui nous est le plus précieux. Un instit qui inspire est un instit qui ouvrira un meilleur avenir à nos enfants. Un instit qui dégoûte brisera l'espoir, et la créativité d'où naît l’innovation. Bien sur c'est un jugement, un préjugé, j'y croit sincèrement, de même que je respecte le travail des maîtresse de mes enfants, mais il arrive comme dans tout les métiers que certain ne fasse pas leur travail. Des tires au flans, des tricheurs, des découragés, il en existe dans tout les métiers. Chez les médecins à qui on confie notre vie, chez les agriculteur à qui ont confie notre nourriture, et bien sur chez les instits à qui on confie NOS ENFANTS. Au delà de leur travail nous leur donnons une grande responsabilité, celle 'non pas d'élever', mais d'EDUQUER notre bien le plus cher et notre avenir.
Mais dans ce post, j'ai découvert autre chose, quelque chose qui me manquait lorsque je me confrontait à la maîtresse de mon fils. J'ai découvert que, eux non plus ne connaisse pas le métier ou plutôt le travail des mères et des pères qu'ils rencontrent. 
Elle même sont victime et bourreau de ce même préjugé qui entoure une fonction ou un métier.



mardi 3 septembre 2013

J'abuse, J'abuse

Où là, le dernier remonte à loin, Pour ma défense je vais vous présenter ce que j'ai fait pendant cette année 2013.
 D'abord l'hivers : Le site de la Rotja-Vallée-Gourmande, une association auquel je participe.
 Venez découvrir Notre Vallée http://www.rotja-vallee-gourmande.org/ 

Et maintenant le printemps et l'été :
 On pouvait me retrouver en direct sur les marché gourmand tous les jeudi soir dans un de nos villages.

Un troupeau de doudou, de dragon (ou serpent à pates), une cinquantaine de paire de boucle et une vingtaine de barrettes en tout genre plus tard. Et pffff l'été est encore passé trop vite.
 Maintenant y'a plus qu'à enchaîner les bonnets, les tours de coup, de nouvelles boucles d'oreilles, barrettes ceintures et autres merveilles pour la foire au pomme de fin octobre.

Moralité j'ai pas trop le temps de philosopher ces temps-ci.
Quant à nous faire un site dédier à notre petite entreprise ça mûrit.

A plus.

mardi 16 avril 2013

Une place ou la place

"Trouver sa place" est un long chemin qui commence dès l'enfance et demande de constant réajustement. Ce n'est pas parce qu’un jour on a le sentiment d'être exactement là où on est censé être que le lendemain ne vous fera pas sentir que vous déranger. Au fond vivre avec les autres, c'est sans arrêt," gêné" et Bien sur "être gêné". Cependant entre "trouver" sa place qui suppose de la prendre. Et "rester" à sa place qui dépend plutôt de celle que l'on nous donne. L'équilibre est difficile à trouver. Mes enfants doivent se rendre à l'école, et leurs places, au sein des autres enfants, de la société dans ce qu'elle a de plus large ou même par rapport aux adultes dans leur ensemble et plus particulièrement au sens d'autorité, cette place est rigide, déterminée, et au fond particulièrement simple... plus ou moins. D se font dans le moule, tandis que Ch-e résiste à chaque forme d'autorité. Personnellement, la résistance n'a jamais été dans ma nature mais le vent souffle souvent au delà de la limite et la curiosité me pousse à forcé le passage, JE VEUX VOIR, JE VEUX COMPRENDRE. Si le chemin que je me suis choisi est plus difficile et nécessite un peu de souplesse, il suppose qu'on s'affranchisse, des limites. D'abord, les siennes: dans mon cas, un handicap lattent qui devrait m’empêcher de vivre dans ces montagnes peu adapté au handicaper physique, une société rigide qui vous dit qu'un seul métier est possible sur une période donnée où une âme artiste de comptable est considérer comme impossible, et un système paysan matriarcal qui laisse une responsabilité à la mère plus importante qu'elle n'y parait et un temps de parole trop limité pour une bavarde. ;) Mais aussi celle des autres, ce qui est pour votre bien, pour le mien, ce qui dépend d'une priorité, d'une valeur, que l'on partage ou que l'on partage pas mais qui dépend surtout de la vision que l'on a d'une situation. J'ai tendance a penser que la vision que j'ai de ma vie est forcément la meilleure; Surement que Charles-elie du haut de ses trois ans le pense aussi. Pourtant chaque matin je bataille pour qu'il mange, se vêtisse, ou aille à l'école. 30 ans (oula bientot 31) n'est pas comparable au recul que l'on peut avoir à 3ans, me direz vous, mais alors que dire de 60ans par rapport à 30 ou même 50...? Quand est t'on suffisamment sage pour déterminé non seulement SA place mais aussi CELLE des autres? Je ne pense pas avoir la maturité nécessaire pour imposer à qui que soit y compris mes enfants une position autre que celle que le système impose de lui même (mange, habille toi, et va travailler).Cependant je ne suis pas non plus assez humble pour accepter que l'on m'impose MA place. Autant que faire ce peux, je crois le plus sincèrement du monde, que dans cet endroit de liberté qu'est Mantet il y aurait largement assez de place pour chacun puisse vivre et s'exprimer. Tous les jour de l'année. Mais "porter sa voix" est une autre histoire.